Concours Contagieux : « Soul of London » de Gaëlle Perrin-Guillet ! 3 livres à gagner !
Hello mes Contaminé(e)s !
Je vous avais annoncé d’autres surprises dans mon article de rentrée. Eh bien, la première n’a pas tardé à tomber.
Quelques mots de contexte : L’année dernière « C’est Contagieux! » avait beaucoup apprécié le roman « Soul of London » de Gaëlle Perrin-Guillet paru aux éditions Fleur Sauvage et l’avait fait savoir dans une chronique (que vous retrouverez ci-dessous).
Cet été, Lilas Seewald, merveilleuse éditrice de chez Bragelonne (elle nous a révélé l’incroyable talent de Johana Gustawsson) nous a contacté pour savoir si elle pouvait reprendre des mots de ladite chronique et s’en servir pour la quatrième de couv’ à l’occasion de la sortie en poche aux Editions Milady de « Soul of London ». Excusez du peu ! Encore merci pour cet honneur, Lilas et super fier que ce soit pour ce très joli roman de Gaëlle Perrin-Guillet.
Comme je vous le dis toujours mes Contaminé(e)s, tout ce qui arrive de bénéfique au site est grâce à vous. Il est donc normal que vous en soyez récompensés dans les grandes occasions et assurément c’en est une.
LE CONCOURS ! LE CONCOURS !
Du coup, C’est Contagieux! et les Editions Milady (que l’on remercie chaudement) mettent en jeu 3 exemplaires du livre rien que pour vous !
Pour le gagner, c’est très simple : il vous suffit d’envoyer un mail à cestcontagieux@gmail.com en indiquant dans l’objet du mail « Concours Hautement Contagieux ! » et en nous donnant vos coordonnées dans le corps du mail (sinon comment on vous envoie le livre…?). Le concours se clôt dimanche 01/10/17 à minuit et les gagnants seront annoncés lundi prochain sur la page FB de C’est Contagieux (ici quoi !).
Je vous laisse avec la fameuse chronique qui devrait achever de vous convaincre si vous n’avez pas encore cédé aux sirènes chantantes de Gaëlle Perrin-Guillet :
« Soul of London » de Gaëlle Perrin-Guillet – La chronique aussi big que Ben !
Le fog londonien frissonne sur la Tamise. Une brume se répand sur les pavés glissants et enveloppe les silhouettes des passants. S’en découpe la figure mutine d’une auteure sûre de son fait. Sûre de son travail. Regarde-là, elle te sourit, espiègle. Oui, elle va t’envoûter.
Gaëlle Perrin-Guillet change complètement d’univers avec ce roman et nous transpose en 1892 dans une Angleterre Victorienne en ébullition. À coups d’industrialisation massive, d’innovations technologiques et d’ascendance de la science sur la religion, c’est probablement le siècle qui a suscité le plus de changements dans la vie quotidienne de ses contemporains. Tout ce qui s’est développé ensuite puise ses bases dans le XIXeme siècle. C’est aussi le siècle ou se sont popularisés les romans d’aventures et policiers. Et c’est justement une intrigue policière que nous propose Gaëlle. La boucle est bouclée.
L’auteure a bien potassé son sujet : le Londres Victorien n’a plus de secrets pour elle. Elle retranscrit divinement l’époque, les us et coutumes, et nous y immerge avec simplicité et talent. Elle ressuscite les fantômes de Whitechapel et son éventreur fou, fait planer l’ombre de Sherlock Holmes. Fermez les yeux et concentrez-vous : les bruits dans les rues, les fiacres, les cris des enfants, les odeurs qui s’en échappent et viennent flatter votre nez. On sent le tumulte battre plein pot. Ah, l’exaltation de voyager à travers le temps, le ravissement de vivre une aventure.
C’est une double intrigue que nous propose l’auteure. Un double plaisir donc pour celui qui se laissera y glisser.
Ses personnages sont une vraie réussite. On s’y attache immédiatement et il prenne vite de la consistance dans nos caboches de lecteurs. Que ce soit le duo composé du policier Henry Wilkes et de Billy, son jeune assistant plein de malices, ou que ce soient les personnages secondaires qui l’habitent et donnent corps à l’histoire.
On sent que l’auteure pose ses bases comme on pose ses valises arrivé à demeure. On sent aussi qu’elle en a gardé sous le pied. Peut-être un peu trop car le roman est court (230 pages) et on aurait bien dévoré avec gourmandise et délectation 200 pages de plus.
Gaëlle a la plume douce qui caresse ton âme de lecteur. Mais ne t’y méprends pas, son encre est sanguine !
Pas besoin d’aller chercher le bonheur bien loin, il suffit de te rendre chez ton libraire et de t’arrêter devant cette magnifique couverture…
4ème DE COUV’
Londres, 1892. Des cadavres de chiens sont retrouvés mutilés, le crâne ouvert, dans les tunnels du métro. L’enquête est confiée à Henry Wilkes, flic accidenté et handicapé, relégué loin du terrain depuis qu’il doit marcher avec une canne. Le dossier ne l’enchante guère, mais quand le corps d’une enfant est à son tour retrouvé, au même endroit et mutilé, il prend une autre dimension.
William Bennet, un gamin des rues qu’il a recueilli un an plus tôt, l’assiste dans sa tâche. Alors qu’ils explorent les tunnels crasseux du métro, Alice Pickman, une jeune femme issue de la haute société, s’adresse à Henry pour qu’il rouvre l’enquête du meurtre de sa soeur dans le quartier malsain de Lisson Grove, qu’elle estime avoir été bâclée.
Au coeur d’une ville en pleine révolution, où se disputent la science et la religion, Henry et Billy, en dignes représentants des Lumières, cherchent à faire éclater la vérité au milieu du fog londonien, mélange de charbon, de mensonge et de perversion…
Je ne jouerai pas ! Normal, j’ai beaucoup aimé ce livre 😉
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Oui il est vraiment super sympa ce livre 😊
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participation envoyée 😉
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Merci à toi 🙂
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