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L’Interview-Terrasse TRÈS CONTAGIEUSE de Laurent Scalese – A l’écrit et en Podcast audio (Part 1/2) !

laurent_scalese

Laurent Scalese – Copyright http://www.cestcontagieux.com

Hello mes Contaminé(e)s,

Chez « C’est Contagieux! », si vous êtes un régulier du site vous le savez déjà, on aime beaucoup Laurent Scalese. Autant l’homme que son oeuvre. C’est donc avec grand plaisir que nous sommes allés le rencontrer pour lui poser les questions qui nous brûlaient les lèvres sur tout un tas de sujets dont évidemment son nouveau roman.

La particularité de cette interview-fleuve est qu’elle a été réalisée en direct, le mercredi 21/09/16, la veille de la sortie de « Je l’ai fait pour toi » (pour lire la chronique, cliquez ici). Je vous ai retranscris par écrit la quasi-intégralité de l’entretien mais vous pouvez choisir de l’écouter via le podcast audio. Le symbole (…) signifie que la partie est coupée à l’écrit mais présente dans le podcast audio où vous retrouverez l’intégralité de la discussion. C’est donc du SCALESE brut que je vous livre mes Contaminé(e)s) !

Précision : le podcast ci-dessous vous permet d’écouter l’interview dans son entièreté. Il suffit de cliquer dessus.

 

Bonjour Laurent et merci d’avoir accepté cette interview-terrasse !
Le 22 septembre paraît aux éditions Belfond ton nouveau roman « Je l’ai fait pour toi ». Tu reviens un an et demi après « La voie des âmes » avec un roman qui n’a rien à voir. Avant de parler du nouveau, on aurait pensé que tu sortirais une suite à la voie des âmes ? Est-ce prévu ?

Non parce que quand un roman se termine aussi mal mais aussi efficacement je me dis que ce n’est pas la peine d’y revenir. Mais, sait-on jamais ? Pour l’instant, je ne voulais pas remettre le couvert avec cette histoire. Je voulais vraiment m’aérer l’esprit, écrire quelque chose de plus léger, de plus fun, de plus lumineux et ce nouveau héros, Samuel Moss, s’est imposé à moi très rapidement. J’ai eu un coup de cœur pour lui et je me suis dit c’est maintenant qu’il a besoin que je parle de lui.

Pour « La voie des âmes », une suite peut-être un jour mais comme tu le sais ce roman m’a demandé 5 ans de travail, c’est un gros pavé, presque 700 pages. Je ne me sentais pas la force physique ni l’élan artistique nécessaire pour me remettre à l’ouvrage sur un tel sujet aussi rapidement. J’ai besoin de me ressourcer avant de me décider à me lancer dans un projet aussi ambitieux.

On constate d’ailleurs que dans chacun de tes romans, il y a une ambiance, un ton voire un style différent. C’est quoi le style « Scalese » ?

Un artiste à mon avis se doit de se renouveler à chaque livre, à chaque œuvre. Ce n’est pas toujours évident, ça demande un moment de réflexion, un moment de remise en question. Je n’ai pas envie de refaire la même chose sinon j’ai l’impression de stagner. Je me lasse, je m’ennuie, le lecteur peut s’ennuyer aussi, donc je dois me renouveler, explorer de nouveaux territoires tout en explorant des thématiques qui me sont chères (…) mais avec un fond Scalesien, une patte Scalesienne. Mon univers, je pense qu’on peut le reconnaître. J’y tiens mais même inconsciemment, de toute façon, je reproduis cet univers de livre en livre puisque c’est en moi et que c’est moi. Le reste – changer d’histoire – ça me paraît capital.

Il y a un côté très humaniste dans tes romans…

Oui, c’est marrant que tu dises ça parce que même mon éditrice me dit souvent ça « tu écris des romans humanistes ». Oui effectivement, ce qui arrive à l’homme, ses émotions, c’est un moteur pour écrire, que ce soit ses émotions positives, ses émotions négatives, l’amour, la haine, la colère, peu importe… Mais ça reste très humain. Il n’y a pas de personnage tout blanc ou tout noir, c’est entre le gris clair et le gris foncé à chaque fois. Il n’y a pas de règles, j’aime bien explorer cette zone-là avec mes personnages.

Ce nouveau roman tranche beaucoup avec les précédents. Il est beaucoup plus lumineux, gai, enjoué, on passe de très bons moments à sa lecture. Il est d’ailleurs à contre courant de la production actuelle toujours plus sombre et plus glauque, c’est un choix volontaire ?

Absolument, en fait quand j’ai commencé à penser à ce projet, j’étais un peu déprimé par toute cette actualité écrasante, ces mauvaises nouvelles, le terrorisme, l’incompétence de nos politiques, enfin tout ce qui se passe dans le monde, en particulier en Europe et en France et je me suis dit, j’ai pas envie d’écrire un roman noir, un thriller, quelque chose de sombre et d’angoissant. Il y a beaucoup d’auteurs qui écrivent des romans sur les tueurs en série, moi je n’en avais pas envie. Je voulais prendre le contrepied de tout ça et offrir aux lecteurs quelque chose de frais, de lumineux, de solaire, de drôle parce que moi-même j’avais envie de sourire, de rire, et j’avais envie de lumière (…) ça fait du bien, ça te détend. (…) « Je l’ai fait pour toi » est un rayon de soleil dans la vie d’un auteur de polar. A un moment donné, je pense qu’on a besoin d’avoir des pauses, de s’aérer, de se détendre, de rire et puis de voir des choses positives, de lire des choses positives. (…)

Ce qui est génial avec ce titre, c’est qu’on a l’impression que tu l’as fait pour chacun des lecteurs…

Au début, il devait s’appeler « J’ai tué pour toi ». Là, ça faisait carrément polar, roman policier et je me suis dit que j’allais mettre une connotation plus subtile, sentimentale, affective, sans déflorer le suspens du livre, car l’un des personnages fait quelque chose pour quelqu’un d’autre, pour une personne qui lui est chère. C’est souvent ce qu’on dit quand on fait quelque chose pour une personne que l’on estime importante, on lui dit « J’ai fait ça pour toi ». C’est parti de là en fait. Et puis ça ouvre d’autres champs que celui du pur polar. On est dans la comédie policière. Il y a des éléments de comédie, des éléments de polar, tout ça est un peu combiné donc cela me paraissait un bon compromis ce titre, entre le polar et la comédie.

La question qu’on se pose justement, car il y a effectivement des personnages drôles et savoureux, quand tu écris ce genre de dialogues ou de situations, est-ce qu’ils te font rire aussi ?

Bien sûr. J’ai des images dans la tête, il y a certaines scènes qui m’ont beaucoup fait rire. Parfois, j’écris des dialogues, je relis et je me marre devant l’ordinateur parce que c’est drôle. Je me dis en extrapolant, si je fais rire, peut-être les lecteurs vont-ils rire aussi. Si ça marche sur moi, ça peut aussi marcher sur les autres. Je pars toujours de ce principe-là, tu vois ?

Est-ce que tu les testes ?

Je peux faire lire à des proches quelques scènes qui ont besoin d’une vraie efficacité, d’une vraie drôlerie. Je me dis est ce que ça marche, est-ce que l’effet recherché est atteint ? Donc à ce moment-là, je fais appel à des proches qui relisent et qui me disent ça marche, ça marche pas ou il faudrait peut-être rajouter ci ou ça pour que ce soit efficace. Je fonctionne un peu comme cela.

Peux-tu nous présenter ton nouveau personnage : Samuel Moss ?

Samuel Moss est Commandant de police à la brigade criminelle d’une station balnéaire imaginaire que j’ai  inventée et qui s’appelle Lazillac-sur-mer. C’est un personnage qui a une spécialité : les crimes parfaits. Dès que sa chef vient le voir et lui propose des affaires, il fait un peu le tri. Il a un peu ce statut privilégié, il peut se permettre de choisir les affaires qu’il veut. Et ce qui l’intéresse, lui, ce sont les crimes à priori parfaits, échafaudés et élaborés par un esprit « supérieurement intelligent », une personne, un coupable, un criminel qui pense avoir pensé à tout, aux moindres détails, qui pense n’avoir commis aucune erreur et lui se dit il y a forcément une erreur quelque part, moi je vais la trouver. (…) A côté de ça, il a des petites névroses, des névroses liées à son passé qui nourrissent sa personnalité et qui nourrissent le flic qu’il est, qui lui permettent d’être encore meilleur. Ça donne donc lieu à des situations parfois surréalistes, drôles, cocasses qui apportent cette touche de légèreté que je voulais justement pour contrebalancer le côté habituel, sombre, noir, glauque des thrillers contemporains.

Sans déflorer, Samuel Moss a beaucoup de tocs et de phobies. Pourquoi avoir voulu ajouter cet élément à ce personnage ?

Parce que sincèrement, nous avons tous des névroses. Certains vont le reconnaître, d’autres non mais la névrose fait partie de l’homme. Samuel Moss, lui, a parfaitement identifié ses névroses, il les assume parfaitement. Mieux, il les a intégrés à sa vie et à son travail. Donc, tu imagines, le type il est très bien dans sa peau en fait. Il sait qu’il a un problème, il sait qu’il a des angoisses mais étant donné qu’elles lui apportent quelque chose dans sa vie privée et professionnelle, il le vit très bien.

D’où t’es venu l’idée du mantra de Samuel Moss, les trois lois :
1) Le crime parfait existe
2) Le criminel parfait n’existe pas
3) L’enquêteur doit donc concentrer ses efforts non pas sur le crime mais sur le criminel ?

C’est le concept du livre : le questionnement quant à la possibilité ou non du crime parfait. Est-ce que le crime parfait existe ? Est-il possible de l’accomplir ? J’essaie d’apporter une réponse. La réponse est énoncée dans les trois lois. Pour Samuel Moss, le crime parfait existe. Dans l’accomplissement, techniquement, tu peux commettre un crime parfait, irréprochable mais il est accompli par qui ce crime parfait ? Par un être humain. Un être humain est forcément faillible, il commet forcément des erreurs parce que nous sommes tous susceptibles d’en commettre. Donc c’est là que Samuel Moss va frapper, c’est là qu’il va chercher la faille : dans le côté humain. Quand il va approcher au plus près le coupable, qu’il renifle très vite, il va essayer de le comprendre en le fréquentant, en lui parlant, en le questionnant, en s’immisçant dans sa vie, voir quelle erreur il a pu commettre. Il va chercher, il va creuser. (…)

Il y a justement dans les premiers chapitres, une discussion entre Samuel Moss et ses étudiants (en plus d’être flic, il donne des cours de criminologie) sur le crime parfait qui donne le ton dès le début sur la couleur du roman. C’est assez surprenant et plutôt très frais…

C’est à l’image de ce personnage. Il ne va pas donner un cours de criminologie comme un prof banal. Il a sa façon à lui d’enseigner. J’ai eu beaucoup de plaisir à l’écrire. Cette scène-là et cette idée en particulier, son déroulé, je les ai dans la tête depuis 10 ans. Je ne savais pas où cela allait me mener mais je savais qu’un jour, je ferai quelque chose avec cette scène-là et que ce serait un de mes premiers chapitres. Elle est à l’image du personnage, elle te montre comment il travaille, comment il appréhende son métier. C’est drôle. (…) J’ai beaucoup travaillé les dialogues parce que je pense que l’humour passe plus efficacement par les dialogues. Moi j’entends les personnages parler, c’est là que je vois si c’est drôle ou pas. Et j’ai des sourires régulièrement en écrivant les dialogues. C’est vraiment un art les dialogues, ça ne coule pas forcément de source, ça demande beaucoup de travail. Il faut qu’il y ait une sorte d’harmonie entre la question et la réponse. C’est pas simple à faire mais lorsque tu réussis l’exercice, c’est jubilatoire et ça peut être très très drôle.

On retrouve beaucoup d’influences télévisuelles dans le personnage de Samuel Moss et dans tout ton roman d’ailleurs.


Pour rappel tu es l’un des scénaristes de Chérif (diffusée sur France 2), personnage qui est d’ailleurs un fan de série lui-même. On pourrait citer « Le mentalist », un peu de Columbo, évidemment Chérif,  et le duo que Samuel Moss compose avec Cheyenne Calvera fait furieusement penser à la série de la BBC « Sherlock Holmes », notamment les échanges verbaux entre ce dernier et le Docteur Watson. C’est volontaire ? Ces influences sont-elles conscientes ?

En fait, les duos de flics, ça existe depuis très longtemps, depuis les années 80, toutes les séries policières « feel good » qu’on regardait « Starsky & Hutch », « Magnum », « Remington Steel »… On n’a rien inventé. « Le Mentalist », je vais te faire un aveu, je ne l’ai jamais vu. Je connais le pitch bien sûr.

… parce que la façon de Samuel Moss d’analyser les suspects y ressemble fortement.

Ah bon ? Je ne sais pas, je ne l’ai jamais vu, c’est une série qui ne me capte pas. « Columbo », c’est une de mes séries préférées, une des 10 meilleures séries que j’ai jamais vu.

D’ailleurs, les 3 lois de Samuel Moss pourraient s’adapter totalement à « Columbo »

Oui, c’est possible. La différence, c’est que dans « Columbo » tu as le crime dès le début, le mobile, le modus operandi et le coupable. Tout est exposé. Dans « Je l’ai fait pour toi », on entrevoit le crime, on ne voit pas le coupable. Mon héros, Samuel Moss identifie très vite le coupable. Après le défi, c’est de trouver le mobile et le modus operandi. Le suspense du livre repose là-dessus. Donc par rapport à « Columbo », j’ai déplacé les pièces. Concernant la relation avec sa collègue, j’ai pris le contrepied parce qu’il ne peut y avoir de rapport de séduction entre eux.

Il y en a quand même parce que Samuel Moss est complètement dans la séduction. Tu écris qu’il n’est pas un Don Juan dans le livre, pourtant il passe son temps à draguer tout le casting féminin ou en tous cas à l’envisager (rires).

Oui, c’est un séducteur. Il y a une différence entre dragueur et séducteur. Le séducteur, je vois plus ça dans l’élégance, dans la classe, dans la beauté du geste et de la parole. Le dragueur, je vois ça comme un type un peu lourd, harceleur et qui embête les femmes. Moss n’est pas comme ça. La relation qu’il a avec Cheyenne Calvera est forcément différente parce que Cheyenne est homosexuelle donc dès le début je désamorce ce rapport de séduction éventuel et il comprend qu’ils ne coucheront pas ensemble. Il le lui dit d’ailleurs « Donc maintenant que la tension sexuelle est évacuée, on va pouvoir travailler tranquillement » (rires). C’était vraiment pour me différencier de toutes ces séries où il y a effectivement un rapport de séduction inévitable, incontournable, où on finit par s’embrasser. Après, aujourd’hui, quand tu fais un tandem avec un homme et une femme dans une série, forcément, il y a toujours les mêmes codes, la même approche. Le but, c’est de t’approprier les personnages, de leur apporter un peu de ta personnalité, de ton style, ton univers, de façon à ce qu’ils se distinguent des autres. Je pense y être arrivé avec celui-là. (…)

Tu en cites beaucoup d’ailleurs de séries dans ton livre !

J’en cite beaucoup ? Peut-être… Je n’ai pas conçu ça comme une série, j’ai conçu ça comme un livre.

Pourtant, le père de Samuel est scénariste de séries TV et tu parles notamment de la série « les Envahisseurs » ?

Ça c’est différent parce que mon héros… Son père est franco-américain, son grand-père a fait le débarquement, il a rencontré une femme en France, il s’est marié. Donc le père de Samuel Moss est né en France, s’est mariée à une française puis ils sont retournés aux Etats-Unis parce que le père était scénariste de séries TV. C’est un clin d’œil à toutes ces séries américaines que nous regardions enfants comme « Les Envahisseurs » et je dis que Samuel Moss a été conçu dans la loge de Roy Thinnes, l’acteur principal de cette série (rires). Son père et sa mère se sont isolés dans la loge pour faire ce qu’il faut faire pour avoir des enfants. C’est un petit clin d’œil comme ça mais effectivement j’aime bien l’idée qu’il ait cette double nationalité parce que j’ai toujours eu une profonde admiration, un profond respect pour les soldats qui ont fait le débarquement. Pas que les américains, il y a eu plein de nationalités, les canadiens notamment. Pour moi, ce sont vraiment des héros. Je me suis dit, je peux leur rendre hommage à ma petite façon, dans mon univers de fiction en disant que Samuel Moss descend de l’un de ces héros. Cette idée me plaisait beaucoup. Et puis, on a tous beaucoup d’admiration pour la fiction américaine, pour les films américains. Avec la fiction anglaise, je pense que c’est la meilleure au monde. C’est donc une façon de leur rendre hommage. Mon personnage est à la fois français, à la fois américain, il a les deux cultures mais il est parfaitement adapté aux deux même s’il vit en France.

(A suivre…)

Dans la seconde partie, Laurent nous parlera de ses séries préférées, de celles qu’il vous conseille, des connections qu’il a créé entre tous ses romans, de Cherif, de la Ligue de L’Imaginaire et d’une possible nouvelle collaboration avec Franck Thilliez (une autre nouvelle ?)…

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29 Comments on L’Interview-Terrasse TRÈS CONTAGIEUSE de Laurent Scalese – A l’écrit et en Podcast audio (Part 1/2) !

  1. wow c’est passionnant !! Quel magnifique moment de partage. Oui, Laurent Scalese est un humaniste, il n’y a aucun doute là-dessus.
    Je suis halluciné par le boulot que tu as réalisé, David. Des heures et des heure de retranscription, je suis bluffé. Et tes questions sont parfaites pour permettre à l’auteur de se dévoiler en toute simplicité.
    Donc, merci, mille mercis, vraiment
    Vivement la suite !

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  2. A reblogué ceci sur Leïla Rogon.

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  3. Whaou, mais vous êtres top les mecs. J’adore ton interview terrasse.
    Et vivement la suite !

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  4. Purée, le boulot de malade que tu nous as fait, toi !! Je te kiffe ! Enfin, je te kiffais, mais là, je te sur-kiffe 😆

    Moss a une spécialité : les crimes parfaits. Dès que sa chef vient le voir et lui propose des affaires, il fait un peu le tri. PUTAIN, dans ma chronique du livre, j’ai oublié de parler qu’il avait un côté Dr House pour le fait qu’il choisissait ses affaires ! Rogntudjû !

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  5. quel beau moment d’échange on entend bien votre complicité et respect mutuel, un vrai bonheur d’écoute!

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  6. Voilà Podcast écouté intégralement, je ne pouvais pas ne pas écouter Laurent en “live”. C’est un vrai bonheur que de discuter avec lui, tu zappes tout le reste (la conférence d’Armelle et Nicolas à Lire c’est Libre, Fabio M. Mitchelli pourtant juste à côté à SMEP…) bref il est passionnant. (Bon ça fait groupie là non ? Ce n’est pas l’idée😛 ). Tu es mon tentateur avec les livres (Yvan également), pour les films et les séries TV je vais chez Laurent. J’ai une liste après tous les petits billets vus sur son FB. Et j’en ai vu des petits bijoux. Superbe échange, c’est un vrai bonheur de vous écouter. J’aime voir ses références à son oeuvre et j’aime voir ses messages à travers ses personnages, il y a vraiment un univers scalesien ! Superbe boulot mon David, quel beau cadeau tu nous fais là. Tout simplement merci❤

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    • C’est moi qui te remercie pour ta gentillesse et ta fidélité. Et c’est toi qui me fais le plus beau des cadeaux avec ce merveilleux message. C’était le pied d’avoir ce moment privilégié avec Laurent et le format permet d’avoir le retour de l’auteur à l’état brut, sans filet. Je remercie vivement Laurent d’avoir joué le jeu d’ailleurs !
      Merci à toi surtout d’avoir pris le temps de nous écouter. Ca donne envie de continuer le boulot. I kiff you ❤

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  7. Ais je déjà dit que j’adorai ce mec? Oui ?
    Tant pis, je le dis encore! 🙂

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  8. Et sacré boulot mon David!Bravo !

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