« L’Ecorchée » de Donato Carrisi
L’écorchée – Donato Carrisi
Après un livre aussi salué et aussi réussi que « Le Chuchoteur », Donato Carrisi peut-il rééditer son coup ?
Défi relevé haut la main car Carrisi nous revient en très grand forme dans cette suite du « Chuchoteur ».
Il faut croire que le personnage de Mila Vasquez l’inspire de façon très qualitative, comme une muse perverse.
C’est donc le lecteur qui va être content de se laisser une fois de plus fasciner et manipuler très agréablement par le bout du nez.
Viscérale, vénéneuse, acérée, l’histoire nous plonge une fois de plus dans les méandres du mal et de l’insanité.
On ne bénéficiera évidemment plus de l’effet de surprise mais il faut compter sur le talent de l’homme.
De ce fait, l’addition d’un nouveau personnage apporte un vent de fraîcheur bienvenu. En effet, Simon Berrish, « l’homme à qui vous avez envie de parler », est un collier de perles scintillantes et Carrisi nous le façonne chapitre après chapitre le rendant indispensable et intrigant. Couplé à Mila, ce duo fait des merveilles.
L’intrigue est folle, nerveuse, d’une puissance maîtrisée de main de maître par ce peintre du suspense qu’est Carrisi.
Les couleurs sont ocres et sombres et le pinceau telle une lame aiguisée vient tracer des cercles à même votre cerveau pour y bien graver l’histoire.
Comme toujours chez Carrisi, l’intrigue est à tiroirs mais ici, ils s’encastrent magnifiquement dans la commode.
Cest Contagieux! 
Pas encore lu, mais je l’ai déjà ! J’ai aussi le dernier…. tudieu, j’ai du retard, moi !! 😀
PS : j’adore tes petits corbeaux qui donnent la note !!
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Oui ne m’en parle pas, j’ai eu une pile de malade qui m’attend 😉
PS :oooh merci beaucoup ma Belette !!!
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Ta pile de malade ne saurait pas être aussi malade que la mienne !! Moi, c’est le trou de la sécu mais à l’envers… au lieu d’un trou, j’ai une pile… et ce n’est à prendre au sens cochon !! 😀
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Ma pauvre, c’est pas douloureux au moins ^^
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Suivant tes conseils, j’avais lu le chuchoteur et je m’étais vraiment vraiment vraiment régalée. J’ai donc eu très envie de continuer avec l’écorchée qui m’a permis de retrouver Mila Vasquez. Dans le chuchoteur j’ai été happée par l’intrigue, pour l’écorchée ce sont les personnages et le décor planté par Carrisi qui m’ont fascinés. Je revois encore Simon Berrish tombé en disgrâce déjeunant seul à sa table, mis au ban par ses collègues. Et ce labyrinthe de déchets empilés. Fantastique. C’est la gorge serrée que j’ai souffert avec toi Simon. Merci pour ce moment d’émotion Antonio Carrisi. Et merci David d’avoir mis cet auteur entre mes mains :))))
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Un superbe commentaire ! Je te rejoins sur tous ces points ! Merci à toi Ko 🙂
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