« Fast and Furious 7 » – La chronique à 300 à l’heure !
Bien sûr que c’est con. Bien sûr que c’est clichesque mais putain qu’est ce que c’est bon !
La scène d’intro est choc et donne le ton du film. Oui, ici, on est choc mais surtout pas chic. Pas chic mais pas toc ! Ici, tout est burné, carrossé, les voitures et les meufs ; charpentées comme jamais, aux courbes affolantes et affriolantes : Messieurs, c’est la régalade !
Ceux qui n’aiment pas les précédents opus de la franchise n’aimeront pas non plus celui-ci. Tant pis. Quand aux autres, laissez-vous faire guys and gals !
La caméra de James Wan, le réalisateur, est d’une virtuosité rarement atteinte et chacun des plans pétarade, en met plein la vue et éblouit le spectateur scotché à son siège. Mais quel maestro ! Il donne un tel souffle aux images qu’on sent ses cheveux virevolter dans la salle.
Même si depuis l’épisode 5, Fast & Furious se rapproche de plus en plus des « Mission Impossible » plutôt que du film de courses et de tuning, il met un sacré coup de vieux à Tom Cruise et ses comparses. Ici, il n’y a pas LA scène d’anthologie dont tout le monde parle et que tout le monde attend. Il y a DES scènes d’anthologie qui se succèdent sans répit.
On assiste à une surenchère de scènes d’actions et de cascades toutes plus époustouflantes les unes que les autres. Il faut d’ailleurs rendre hommage à ces hommes et ces femmes qui risquent leur vie pour nous délivrer ces scènes démentes et incroyables.
Ce qui fait le sel du film et fédère tant les spectateurs est la notion de « famille ». Élément fondateur de la saga. Chacun veut en faire partie. Chacun peut en faire partie. La famille te laissera jamais tomber. La famille sera toujours là pour toi. L’amitié virile, même les filles ont des couilles, et sans concession. La revanche des laissés pour compte. Des outcasts rejetés par une société policée mais qui, ensemble, reconstruisent leurs règles et leurs valeurs.
Évidemment, Vin Diesel en est le liant avec son personnage fédérateur et englobant de Dominic Toretto. Et les autres personnages gravitent autour, ajoutant du rire, de l’intensité, de l’émotion, avec des nuances plus ou moins colorées.
D’ailleurs, chacune des scènes où apparaît Paul Walker est forcément émouvante et le final lui rend hommage, sobrement mais avec panache.
Et une larme se laissera couler du coin de ton œil jusqu’à la naissance de ta bouche…
C’est une chronique où je sens vibrer tes émotions, je ressens ton côté sentimental.
Tu rends hommage à ce film connu et aux acteurs de grands talents. Tu n’oublies pas
de mentionner Paul Walker et je te sens tellement en émoi que tu m’amènes avec toi.
Ta plume fait vibrer, tu sais atteindre ma fibre sensible. Ton article dégage un tel charisme
et je suis sous le charme de tes mots choisis. C’est un plaisir de te lire et tu sais encore une
fois tenter le lecteur… C’est du bon Smadj 🙂
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Un grand merci pour tes toujours si jolis mots Isabelle 🙂
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j’allais te dire qu’il faut parfois se laisser aller sans complexe au spectacle, parce que c’est divertissant , sans essayer de voir un message quelconque…mais elle se termine dans l’émotion ta critique qui commence avec de la testostérone…je suis touchée !
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Oh merci Titania, je suis très content que la critique te plaise et te touche 😀
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Bon, je l’avoue de suite, ce n’est pas vraiment pour moi… mais si je m’emmerde et que j’ai envie d’un truc à 200% d’adrénaline, je mettrai mon cerveau au repos et je ferai plaisir à mes yeux 😉
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Ah oui très plaisir même ^^
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Coucou.
Merci pour cet article. Je suis tout à fait d’accord avec ce qui est dit. Ce film est une bonne suprise en cette année plutôt pauvre.
Voici ce que j’en pense plus en détail : https://cinebotizok.wordpress.com/2015/04/15/botizok-fast-and-furious-7-2015/
See ya ! 🙂
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Merci Maxime. Effectivement nos analyses se croisent et ça fait bien plaisir 🙂
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Mon commentaire n’est pas la ?
J’ai du faire une fausse manip ….. 😕
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Effectivement je ne vois pas ton commentaire ici 😦
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